dimanche 14 novembre 2010

My life's a book of short stories, And we wrote a new one everyday

Une semaine après ce serait bien que je le ponde cet article sur la 1ère soirée des Inrocks Black XS qui était beaucoup moins émouvante que la seconde, plus dansante peut être et encore.

Bref, comme d'habitude le premier groupe n'intéresse pas vraiment le public d'où sa grande absence durant le set de Free Energy qui malgré tout, ont donné tout ce qu'ils avaient à donner et des coups de bassins par ci par là de la part du chanteur. Des morceaux assez toniques, ce qui m'a un peu dérangé c'est la trop grande présence du mot "tonight" dans quasiment toutes les chansons qui étaient ma fois assez répétitive mais pour un album produit par (Monsieur) James Murphy c'était une bonne ouverture pour se dégourdir les jambes.

La salle se remplissait tandis que les choses sérieuses commençaient avec Surfer Blood, malgré leur passage l'hiver dernier à Tourcoing, j'ai eu l'impression d'être complètement seule à connaître le groupe et c'était très frustrant. J'étais un peu partagé comme pour leur album certains titres passaient très bien d'autres moins, je préfère entendre "Harmonix" en cd qu'en vrai et terminer avec "Swim" avec le chanteur de FE qui vient squatter pour faire les choeurs, très bonne idée, j'avais juste envie de me joindre à eux pour faire la fête on stage.

Le moment crucial était arrivé pour Carl Barât, et pour moi en fait vu que j'étais entouré de groupies mâles et femelles. Les premiers avaient préparé toute sorte de plans pour voir Carl (comme il l'appelait si bien) de près même voir de très près, je cite : 

-  "t'imagines il nous fait monter sur scène"
- "ah ouais je serais trop bien"
-"t'imagines il fait des morceaux des libzzzzz" (lib's ou libertines ou the libertines)
- "han ouais ce serait trop coule"

version fille :

- "han les filles j'aimerais trop faire le concert avec vous"
- à moi , "excusez moi (elle aurait pu ajouter madame pendant qu'elle y était surtout que j'étais habillé tel un américain de 16 ans) on pourrait changer de place, d'ici on voit très bien aussi".
-moi : NON (genre je te refroidis et je rigole bien dans ma tête).

Enfin je vous passe tous les blah blah sur Carlito parce que passé 16 ans ça donne juste mal au crâne.

Donc comme dans toute les autres villes Carl Barât à joué des morceaux de son album solo ET des libertines dont "Up The Bracket" ce qui à un peu sauvé son concert pour ma part parce qu'il ne m'a pas émoustillé. Même que ce grand fou à jeter son tee shirt dans la foule, je plains toute personne étant dans la zone de réception.




The Drums savent vendre du rêve avec une musique d'intro plus que correct, j'ai été bête j'ai pas eu le réflexe de filmer leur entrée mais avec la lumière rouge, c'était vraiment chouette. La suite s'était tout autre chose, le réglage du micro à un peu tout gâché, on entendait quasiment que la batterie, et je pense que le fait que Jonathan Pierce frappait son micro sur le sol après chaque chanson n'aidait en rien, le bon fonctionnement du matériel. Une semaine après, le concert me reste vaguement en mémoire (bon j'ai la set list (again) donc je connais l'ordre des chansons) mais il me reste une impression assez vague de la globalité. J'ai dansé, j'ai chanté, j'ai adoré la chorégraphie sur "Down By The Water" et les mouvements de bassin (bis) de Pierce, mais c'est tout.




ps : désolé pour la qualité des vidéos mais je les fais toute avec mon ipod nano donc c'est pas simple et c'est pas de la haute technologie au niveau de l'image surtout quand ils décident de mettre de la fumée dans la salle, mais le son est bien non?

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